27 août 2006


Le lendemain je me réveille brusquement. Un gars en uniforme sombre vient de me demander de me lever et de partir. Les autres s'activent déjà. Je ne comprends pas, j'ai encore la tête dans le pâté mais je ne cherche pas à discuter. Les mots ont jailli d'eux-même de ma bouche : "D'accord, pardon !"

En deux minutes je suis prête, je rejoins Goal qui a dormi dans la voiture. Gilles, lui, est allé se cacher dans les buissons pour continuer à dormir sans se faire virer par les flics.
Nous avions prévu de rejoindre les parents de Tiq et Gilles en ville pour visiter. Les mecs n'en ont pas eu le courage...

Il faut avouer que c'était dur. Le soleil nous agressait, il fallait marcher en plus. Repasser par les mêmes rues que nous avions prises durant la nuit. Cette fois les odeurs étaient perceptibles... Horrible ! Ils peuvent y aller avec leur karcher !

Mais c'était agréable de voir Bayonne le jour. C'est une belle ville. Et puis il y avait tous ces gens qui dansaient ou chantaient. Leur danse me rapellait celle des celtes, avec leurs petits pas effectués presque sur place avec rapidité, ils rebondissent ! Les chants basques étaient entonnés par un groupe de trente personnes, ils passaient dans plusieurs rues.











J'ai réussi à paumer le groupe encore ! Mais cette fois-ci j'avais prévu le coup. Comme j'ai dit à Tiq : "J'ai suivi ton père, à la trace, je l'ai pas quitté ! Au moins si on se perdait, c'est pas grave, il connaît très bien la ville !"
En plus on pourrait dire que c'est les huit autres personnes qui s'étaient perdues ! 'Nous ont pas suivis !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

ralala les jeunes, trop des oufs. (commentaire trés inspirés, non ?)

sArAhAnne a dit…

Grave !