Pendant les partiels c'est assez intéressant d'observer ses congénères courbés sur leur feuille de papiers, ayant l'air de jouer leur vie. Je ne critique nullement, je me suis retrouvée ainsi dans certaines matières. Mais ce n'étaient pas celles-ci :
La neurophy('l dans ta chambre) et la bioméca(rottes) ne m'ont pas inspirée.
En même temps je n'ai pas révisé. Pas lu une page en entier. Peut-être une dizaine de lignes allez...
Du coup j'ai eu tout mon temps pour regarder les autres, voir une goutte de sueur perler le long de leur tempe, leur stylo danser nerveusement sur le brouillon, leurs yeux chercher la réponse au plafond, le stylo dans la bouche...
Et moi pendant ce temps là... oui je tournais la manivelle. Celle qui fait passer le temps plus vite. Je m'excuse auprès des autres, qui, peut-être en auraient eu besoin de ce temps. Je n'y ai pas pensé sur le coup, bizarrement je ne pensais qu'à ma gueule.
Je me suis souvenue de mon premier semestre, le tout premier. Le prof était passé à côté de moi, s'était attardé sur mon brouillon et en voyant écrit " Pauvre conne" avait soulevé un sourcil du genre : "tu es bien dure avec toi-même". Un sourire en bonus.
Enfin c'est ce que j'en ai déduis. Autant il s'est dit : "Quelle chance de savoir se décrire si bien !"
Bref, j'ai réitéré ce semestre.
Souviens-toi de
Toutes ces heures passées
A bûcher dans l'espoir
Peut-être d'obtenir ton
Semestre convoité...
Situations désespéréeS
Toute une vie d'enfanT
A changer avec fracAs
Peine en troP
Sortez les mouchoirS
Structure Sportive Synaptique
Théorème Tendineux Traité
Apologie des APS bien Adaptées
Polyvalence Perçue : Perfectible
Saoûlards Sérieux et Scandaleux
Je ne sais pas si ce sont les partiels, mais ce n'est pas bien gai tout ça... Le dernier, j'ai un peu craqué, c'est n'importe quoi. Mais bon. Ce ne sont que des conneries d'étudiante n'ayant pas révisé et faisant passer le temps comme elle peut.
La neurophy('l dans ta chambre) et la bioméca(rottes) ne m'ont pas inspirée.
En même temps je n'ai pas révisé. Pas lu une page en entier. Peut-être une dizaine de lignes allez...
Du coup j'ai eu tout mon temps pour regarder les autres, voir une goutte de sueur perler le long de leur tempe, leur stylo danser nerveusement sur le brouillon, leurs yeux chercher la réponse au plafond, le stylo dans la bouche...
Et moi pendant ce temps là... oui je tournais la manivelle. Celle qui fait passer le temps plus vite. Je m'excuse auprès des autres, qui, peut-être en auraient eu besoin de ce temps. Je n'y ai pas pensé sur le coup, bizarrement je ne pensais qu'à ma gueule.
Je me suis souvenue de mon premier semestre, le tout premier. Le prof était passé à côté de moi, s'était attardé sur mon brouillon et en voyant écrit " Pauvre conne" avait soulevé un sourcil du genre : "tu es bien dure avec toi-même". Un sourire en bonus.
Enfin c'est ce que j'en ai déduis. Autant il s'est dit : "Quelle chance de savoir se décrire si bien !"
Bref, j'ai réitéré ce semestre.
Souviens-toi de
Toutes ces heures passées
A bûcher dans l'espoir
Peut-être d'obtenir ton
Semestre convoité...
Situations désespéréeS
Toute une vie d'enfanT
A changer avec fracAs
Peine en troP
Sortez les mouchoirS
Structure Sportive Synaptique
Théorème Tendineux Traité
Apologie des APS bien Adaptées
Polyvalence Perçue : Perfectible
Saoûlards Sérieux et Scandaleux
Je ne sais pas si ce sont les partiels, mais ce n'est pas bien gai tout ça... Le dernier, j'ai un peu craqué, c'est n'importe quoi. Mais bon. Ce ne sont que des conneries d'étudiante n'ayant pas révisé et faisant passer le temps comme elle peut.
Je suis une piètre dessinatrice, et je n'avais pas assez de temps pour me lancer dans un roman...
J'avais bien l'idée de me lancer dans une dissertation sur les briquets qui ne s'allument pas lorsque l'on veut allumer sa clope mais... Une autre fois !
1 commentaire:
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